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Didier "Le Kokko correspond bien à nos modes culinaires, flexible et technique, précis."

15 juin, 2021
Didier "Le Kokko correspond bien à nos modes culinaires, flexible et technique, précis."

Rencontre autour du Kokko : Rendez-vous chez Didier, 70 ans, près de Dunkerque, dans les Flandres.

Vous êtes l’heureux propriétaire d’un Kokko depuis peu, pourquoi avez-vous opté pour un Kamado ?

Je suis venu au kamado par l’émission Top-Chef et nous avons choisi le KOKKO pour des raisons d’apparente qualité, l’achat s’étant réalisé via internet, de prix et du sérieux du service client. Après étude approfondie de ce four que je ne connaissais pas, nous avons trouvé qu’il correspondait bien à nos modes culinaires, flexible et technique, précis.

Quelle est votre plat signature ?

J’en ai plusieurs : l’effiloché d’agneau sur fondue de mojettes et gousses d’ail, côte à l’os de veau marinée en reverse sear avec papillote de maïs au citron, filet mignon de porc fumé à froid au bois de whisky et saumon fumé à froid au coriandre avec sciure de bois d’aulne.

Un conseil ou une astuce à partager avec les Kokko Lovers ??

Pour le fumage à chaud (entre 85 et 110 degrés) la plaque de lave est indispensable associée à une petite réserve d’eau, sans oublier les indispensables sondes ink-bord.

Vous l’utilisez souvent ?

En couple ou en famille, l’hiver pour les fumages à froid et les cuissons basse température, l’été pour le fumage à chaud et les reverse-sear, qui se termine par un pain.

Le mot de la fin

Achat acheté avec quelque appréhension en direct sur internet sans aucun regret car top qualité sur toute la ligne et très performant. Je déplore qu’il ne soit pas référencé avec les « grands », plus chers et de même origine.